• Persistant petit rien

    J’ai noyé ta mémoire en de nombreux whiskies,

    Enterré mes espoirs toujours tout enflammés,

    Entouré ton doux bruit de murs trop riquiquis,

    Pour assécher ses fruits et m’empêcher d’aimer.

     

    Tu disais que mourrait le léger sentiment,

    Promettant que le rai de ton soleil couchant,

    S’éteindrait à l’orée d’étoiles gentiment,

    Venues peupler, dorées, mon ciel, verdissant champ.

     

    Tu vantais ces astres comme boules rebelles,

    Eclipsant le désastre où notre amour sombrait,

    Renversant la quille de chancelante belle.

     

    J’ai donc noyé plus fort, plus loin, au plus profond,

    De cet océan, for, le mal que malheurs font.

    Fi ! vilaine esquille ; savais-tu qu’il flottait ?

    « Au pays de CharlieTon île »
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